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Dr. Rene J.A. Levesque
(1987 - 1993)
1987-09-01
Nomination de René J.A. Lévesque à la présidence de la CCEA Suivant le départ de Jon H. Jennekens, qui a accepté le poste de directeur général adjoint des Garanties à l’Agence internationale de l’énergie atomique, René J.A. Lévesque, Ph.D., est nommé président de la CCEA, poste qu’il occupera jusqu’en 1993.
1989-01-01
Hydro Ontario mise à l’amende en raison d’une surexposition de travailleurs aux rayonnements Hydro Ontario est condamnée à payer une amende en raison d’une surexposition de travailleurs de Pickering aux rayonnements. C’est la première et la seule fois qu’une entreprise de service public d’électricité est poursuivie et mise à l’amende en vertu de la Loi sur le contrôle de l’énergie atomique.
1989-10-31
La CCEA ouvre un laboratoire dans de nouvelles installations à Ottawa Le laboratoire de la CCEA ouvre officiellement ses portes dans ses nouvelles installations de l’Immeuble de protection de la santé, au pré Tunney, à Ottawa, en Ontario. Il comporte deux sections, soit celle de la radiochimie, chargée de l’analyse des échantillons, et celle de l’électronique, responsable de l’entretien de toute l’instrumentation de chantier.
1989-11-05
La centrale Darlington entre en exploitation Le premier réacteur (tranche 2) de la centrale nucléaire Darlington entre en exploitation. Les trois autres réacteurs seront en exploitation dès 1993. De nos jours, Ontario Power Generation (OPG) est propriétaire de la centrale nucléaire de Darlington et est autorisée à l’exploiter. La centrale est située sur la rive nord du lac Ontario. L’entreprise exploite aussi une installation de gestion des déchets nucléaires au même endroit. Du personnel de la CCSN travaille à temps plein sur place afin de réaliser des inspections, d'évaluer les opérations et de vérifier la conformité aux exigences réglementaires et aux conditions de permis.
1990-01-01
Poursuite des efforts de la CCEA pour améliorer les relations avec les collectivités Dans la foulée de ses efforts pour faire preuve de plus de transparence à l’égard de ses activités, la CCEA tient des réunions d’information publique entre juin et décembre 1990, à Saint John (Nouveau-Brunswick), dans le canton de Bruce (Ontario), à Bécancour (Québec), à Wollaston Lake (Saskatchewan) et à Newcastle (Ontario).
1990-01-01
Attribution d’un prix au président de la CCEA Jon H. Jennekens, ex-président de la CCEA, reçoit le Prix du mérite Ian McRae, décerné par l’Association nucléaire canadienne. Ce prix rend hommage à des personnes qui ont contribué de façon exceptionnelle à l’avancement de l’énergie nucléaire au Canada dans un domaine non scientifique.(Source : Association nucléaire canadienne)
1991-06-13
Ouverture d’un bureau de la CCEA à Saskatoon En raison de la charge de travail croissante attribuable aux mines d’uranium de la Saskatchewan, la CCEA ouvre un bureau à Saskatoon. Ce dernier est chargé de préparer des évaluations techniques et des recommandations en matière d’autorisation pour cinq nouveaux projets d’exploitation d’uranium. Il joue un rôle important dans la préservation de la sûreté nucléaire.
1992-02-01
Renforcement des relations de la CCEA avec les médias La CCEA embauche un agent des relations avec les médias et met des experts en la matière à la disposition des médias pour donner des entrevues plutôt que de livrer l’information par l’intermédiaire d’un porte-parole des communications. Bien avant que ce soit pratique courante au gouvernement, la CCEA insiste déjà pour que ses spécialistes se chargent directement des entrevues avec les médias (presse écrite et télévision).
1992-06-23
Adoption de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale Les évaluations environnementales garantissent que les répercussions des nouveaux projets sur un écosystème sont cernées. Les mesures environnementales doivent anticiper, prévenir et combattre les causes de la dégradation de l’environnement. La CCEA évalue les effets environnementaux de toutes les installations ou activités nucléaires à chaque étape de leur cycle de vie. Cette évaluation repose sur la portée et la complexité des risques environnementaux associés à l’installation ou à l’activité.
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